Sparrow. Flying Bird.

Invité

Sparrow.
« It's impossible!
Only if you believe it... »

Sparrow. Flying Bird. Sparro10

Nom : Sparrow. L'moineau , quoi.
Surnom : Si la folie , l'excentricité , la témérité avait un nom, il serait le sien.
Genre : Et Dieu décida que Sparrow serait un mâle.
Age : Peut être six lunes, peut être trois printemps.
Clan : La liberté n'a pas de prix. Mais il faut savoir en faire les frais.
Rang : Disons qu'il ne s'est jamais battu mais qu'il a toujours chassé.

A l'extérieur ...
Impossible d'essayer de lui trouver un âge, de le cerner. Toujours ébouriffé, sombre, étrange, fou , l'œil vif et brillant, la gueule entrouverte , les moustaches frémissantes. Maigre, souple , petit , il pourrait autant être un apprenti qu'un guerrier aguerri. Son pelage , long, sale, pend sur ses épaules osseuses. Toujours recouvert d'un léger voile de poussière, de boue , jamais nettoyé, il semble toutefois entouré d'un aura d'une étrange beauté, lui donnant l'air d'une ombre saupoudrée d'étoiles. Et à ceci s'ajoutent la multitude de couleurs qui ornent sa robe. A prédominance grise, c'est du brun, du beige, du roux , du noir qui viennent décorer cette silhouette tordue. Des rayures serpentent entre les ombres, se mêlent à quelques tâches de ci de là. Le visage du matou, lui , est charmant et fou, étrange et déboussolé. Deux grands yeux multicolores, à l'iris vert-ambre rayée de striures noires, jaunes ou grises, et cernée d'une fine ligne foncées, aux pupilles inégales et sur dimensionnées, baignant dans un éclat de folie et de témérité. Un sourire jauni et pointu , toujours trop large, avec cet onde d'ironie et qui sait, de malice, mais aussi de mystère, et évidement , de démence. Ses oreilles, ornées de fins pinceaux bruns et beiges, sont souvent secouées d'un tic nerveux incontrôlable. De même que ses moustaches, et sa queue, longue contre-balance touffue et emmêlée. Sparrow est fou. Il suffit de le fixer un instant, pour sentir ramper vers soi la démence du Solitaire. Et ce n'est pas la vue de ses griffes, longues et crochues , qui pourrait vous rassurez ...

... Et à l'intérieur.
Sachez, tout d'abord, qu'à mes yeux il existe plusieurs représentations de la folie ; tout d'abord la sombre démence, tableau noir et sans cœur, tâché de sang et d'horreur. Ensuite vient le tourbillon déjanté, le cercle vicieux rempli de couleurs à vous faire perdre la tête, d'hallucinations et de flash-backs. Et puis enfin l'étrange folie téméraire, soulignée par toutes sortes de tics et tocs tordues , un personnage fou, étrange, déboussolé, au sourire édenté et aux prunelles dilatées. De toutes ces images, celle qui correspondrait le mieux à Sparrow est sûrement la dernière, cet être cinglé et pourtant bien attentionné. Étrange, le moineau. Fou , maboule, toqué. Que dire de plus ? Peut être rien. Il parle aux pierres, chante avec les ruisseaux, se nourrit d'une cueillette étrange, se drogue aux champignon vénéneux. Un fou, un maboule, un téméraire. Non , pas un attardé mental, ni un schizophrène. Un chat doué de raison, et qui pourtant semble le cacher. Peut être le fait-il exprès ? Ne serait-se bien plus simple que d'être déjanté plutôt que d'affronter les horreurs et difficultés de la vie ? Peut être ... Ou peut être que non. Mais cela nous ramène au même ; que dire d'autre mise à part sur sa folie ? Son excentricité, oui. Évidement, sa témérité. Il n'a pas peur de la mort. A moins qu'il ne sache pas qui il affronte, chaque jour ... Ah , une certaine gentillesse, peut être. Jamais Sparrow ne s'est battu. Et il ne compte pas y remédier. Mais de toute façon, dans sa vie de fou, que peut-il en avoir à foutre qu'un petit chaton viennent empiéter sur son 'territoire' ... ? Sparrow est un mystère ambulant, une bombe à retardement. Alors si tu tentes de la désamorcer, fait attention de ne pas couper le mauvais fil ...

Famille.
La solitude, il l'a toujours connu. Toujours. Mais qu'importe ? De toutes façons il est fou ...

Et une histoire ...

Elle était là, étendue dans ce bout de tuyau défoncé, à la recherche d'un quelconque abri contre la pluie battante. Labourant la surface métallique de son antre, gémissant, serrant les dents pour s'empêcher d'hurler au martyre, elle endurait, souffrait sans un mot. Comme bon nombre d'autres femelles, elle avait cru en l'Amour, en l'ivresse de l'instant. Les soirées passées à la belle étoile, les tendres coups de langues. Puis, dès que ses flancs avaient pris des formes plus généreuses, que son sourire s'était élargis, il était parti. L'abandonnant à elle même, seule dans cet endroit froid et macabre, ville de Bipède violente et inhospitalière. Seule, perdue, brisée. Enceinte. Et à présent, maudissant ce mâle qui l'avait trahi , elle s'apprêtait à mettre au monde la progéniture du démon. Progéniture qu'elle haïssait déjà, sans même l'avoir connu. Le sort des petits était scellé. Aucun ne survivra jusqu'au couché du soleil. Elle serra un peu plus les dents. Les contractions reprenaient, plus fortes et plus violentes que les précédentes. Les larmes coulèrent le long des joues brunes de la Solitaire. Elle n'en pouvait plus. Une dernière secousse. Elle ramena le regard sur son ventre crème. Un minuscule chaton noir, tout juste né, se débattait dans le liquide rougeâtre qui l'entourait. La jeune mère se mordit la lèvre. Sa carcasse décharnée par la faim fut à nouveau secouée d'un long spasme. Mais cette fois , ce n'était pas la douleur, mais les sanglots qui s'acharnaient sur la pauvre chatte. Elle ne pouvait se permettre de garder ce petit. Se penchant vers le bébé, elle l'agrippa violemment par le cou et le secoua aussi fort que sa faiblesse le permettait. Le nouveau-né poussa un cri déchirant. Puis se tut. Elle déposa doucement le corps inerte de son chaton sur la plaque de métal. Les larmes dégoulinèrent le loin de son poitrail. Soudain , elle rejeta son doux visage en arrière et lança un hurlement désespéré. Son cri déchirant résonna un instant en écho dans la ruelle déserte. Puis, comme pour la punir de son acte, les contractions reprirent de plus bel. Elle hurla à nouveau, la douleur perçant son miaulement fou. La souffrance était trop grande. Sa tête retomba sur son poitrail. Son corps crispé fut agité d'encore un spasme. Encore. Son hurlement se tut. Et la vie douloureuse qui l'animait aussi. Après l'Amour et l'Espoir, la Vie s'en est allée. Mais à présent, gisent près du cadavre de son fils, morte, elle ne souffrirai plus. Plus jamais. Mais pour la boule de poil grise qui venait de la tuer, le cauchemar ne faisait que commencer.

Par on ne sait quel miracle,notre moineau survécut. Tétant le cadavre de sa mère, puis se trainant hors du tuyau rouillé, il eut la chance que ses gémissements ai attiré une vielle Solitaire et non un prédateur. La doyenne le recueillit, le soigna, l'aima comme elle put, puis mourut à son tour, laissant notre petit chaton , âgé alors de seulement trois mois, complétement seul au monde. Après avoir frôlé une nouvelle fois la mort, il fut recueillit par des Bipèdes, qui le maltraitèrent et le laissèrent à moitié mort de faim dans une ruelle. Son long parcourt à travers les méandres de la démence ne faisait alors que commencer. Errant à travers la ville grisâtre, rejoignant tantôt un groupe de chats, tantôt quittant un autre, se faisant maltraiter, arroser d'alcool par les Hommes. De sa naissance à l'âge de dix lunes, il vécut abandonné, brisé, muet. Puis se fut la goutte qui fit déborder le vase.

C'était un nouveau jour qui se levait sur la Ville. La chaleur était étouffante, et la plupart des chats errants restaient cloués dans leurs poubelles insipides, la respiration lente et saccadée.La plupart. Mais pas le Moineau. Le Moineau. C'était le nom que les chats des villes donnaient à Sparrow, de part sa petite taille et sa faiblesse apparente. De tous, il était le plus étrange, le plus silencieux. Le plus mal-aimé. Le plus maboule. Déjà. Ainsi donc, Sparrow, ou plutôt le Moineau, était sorti du terrain vague, territoire des chats, pour aller rôder du côté de la décharge, où il avait le plus de chances de trouver quelque chose à se mettre sous la dent. La puanteur était insupportable, la chaleur si horrible et étouffante, que le pauvre petit matou finit par se laisser tomber au sol, essoufflé. Grave erreur. Une seconde plus tard, on l'attrapait déjà par l'échine et le balançait dans une cage étroite. Et il avait beau hurler à en fendre l'âme, on ne l'en sorti qu'une fois. Fois qui servit surtout à lui brûler le bout de la queue et à lui lancer des cannettes vides. Avant de le jeter dans un enclo occupé par un énorme molosse. Encore une fois, le Moineau survécut. On le rebaptisa 'Sparrow', en hommage à un film Bipède, puis le remit violemment dans sa prison mortelle. Mais cette fois il réussi à s'échapper. Sans un regard en arrière, l'œil fou, un sourire tordu barrant son visage, il s'enfuit. Direction : la forêt.

N'Etoile.
« A pineapple among so many others. »

Sparrow. Flying Bird. Fair_fight_by_CookiemagiK

Prénom : François le Français.

Genre : Féminin.
Age : L'âge de la raison %)
Localisation : Institut Jefferson, Washington DC , USA.
Surnom : N'Etoile.

Administratif.
« Shit. What's the matter ? »

Codes du règlement : J'me valide moi-même , hin ...
Livres de la GDC lus : ...
Niveau de Rp' général : 8/10
Jours de disponibilité : 6.5/7.

Mais quelle narcissique-orgueilleuse-vantarde celle-là *cours se planque, ce que je fais de mieux*.
Bon, ben finis vite en somme...

Que veux-tu Phénix... C'est N'Etoile... *va dans un placare.
Sinon, beau perso. ^^

Invité

♥

Vous pouvez pas savoir comme que je vous aime ... *grrr*
Hmrf, plus que l'histoire ♪
ÉDIT : fini !

hey magnifique ^^ tu peus pas avoir comme j'admir ta .. heu .. franchise ! nan j'aurais pas pensée à présenter un d'mes chat comme ça ! avec autant de classe !!!
(en fait j'suis la seule à t'admirer là ? j'me sens si seuuule)

N'etoile, t'es désespérante...
Pense un peu aux pauvres admins qui font leur devoir (et ouais, même si tu te valides, vaut mieux un avis supplémentaire, non... c'est comme si tu faisais partie du jury d'un concours et que tu te valides...)...
... Ou sinon, vu ta cruauté au nouveaux membres (ou aux membres tout court d'ailleurs) qui vont devoir lire un texte horriiiiiiiiiblement long sans le moindre alinéa et très peu de retours à la ligne... s'ils veulent connaître un peu ton personnage et ton style.
Sincèrement, il vaut mieux être concis et facile à lire avec du vocabulaire que de faire je ne sais combien de lignes pour une description physique... C'est (du moins de mon point de vue) très fatiguant à lire.

C'était la déclaration pessismiste du jury-vampire ! On applaudit... On fait la hola maintenant ? XD
Et maintenant, la délibération du chef du côté des "happy in ze world", au côté de Lotus, elle lève son panneau 8/10, car rien n'est parfait. On applaudit Musix, qui n'a fait que retourner un panneau, elle se rassoit, on ré-applaudit. Bien, j'arrête mon délire, acceptée évidemment ;D

Invité

Nuage d'Eau → Thanks : D

Ma chère Brume. Ce que tu viens de me raconter là, ça s'appelle tout simplement la flemmardise. Bien sûr, se serait tellement plus simple si tout le monde écrivait deux lignes pour le physique , deux lignes pour le mental, et allez , hop , quatre lignes pour l'histoire. Mais voilà , le dilemme, c'est qu'on est dans un forum d'Rpg' , ergot dans un forum d'écriture, et les membre qui écrivent plus ne vont pas se casser la gueule à tenter d'écrire moins, tout comme les membres qui écrivent moins ne vont pas se casser la gueule à tenter d'écrire plus.Voilà. Mon point de vue ♪

Kwiii ^^^

Un solitaire like me !

J'attendais d'en voir un enfin !

En tout cas, pour ma part, j'ai adoré lire la description, et j'suis dégoutée (oui, encore une fois) de n'avoir pu faire mieux pour mon propre personnage (d'un autre côté, je ne me suis pas inspiré d'un chat à moi, j'en ai pas de chat... enfin, on peut estimer que j'en ai effectivement un puisqu'il est à mon copain mais... je crois pas que ça soit la question là... )

Moi, je dis, c'est toujours mieux de lire quelque chose de décrit presque au poil près, comme ça on se fait une idée quasi parfaite du personnage ! Exellente performance en tout cas ^^^

Hate de Rp avec tawa !

» Hey you, did I invited you ? (PV Sparrow)