Maman !!! [PV Coeur de Brouillard... Ardente]

Petite boule de poils avait été – plus ou moins – recueillis par Ardante après l’attaque de sa famille, il l’avait suivit, et faisait à présent partie de son clan. Un clan qui agissait dans l’ombre des autres clans, un clan à la croyance bien différence. Aussi, se dernier était tous nouveau et il n’y avait donc pas vraiment de personne attribué pour le surveillé le temps qu’il devienne un apprenti et plus tard – peut-être – un guerrier.

Ce qui semblait compromit à cause de son œil perdu.

Pour le moment, il se trouvait à la ferme, sur le territoire des chevaux. C’était ici que la femelle au poil roux flamboyant dormais en se moment, et donc lui-même. Mais, lui il voulait retrouver sa mère, il n’était pas sur qu’elle soit morte. Elle lui manquait. Alors doucement et le plus silencieusement possible il quitta le lit de paille sur lequel il dormait – veillant bien à ne pas réveillé son protecteur. Une fois sortis à l’air libre, il courut le plus rapidement possible jusqu’aux collines se trouvant derrière la petite ferme.

Il était sur de la retrouver la, il le savait. Aussi rapidement que ses petites pattes lui permettais, il s’enfonçait à travers les quelques arbres présent et les grand buissons. Une fois sur d’être assez éloigné il ralentit sa couse, pour une marche posé. Observant les lieux avec attention, et toujours silencieusement. Il y avait malheureusement quelque raté, il n’avait perdu son œil que depuis quelque jours et avait encore un peut de mal à s’habitué à cette nouvelle vision, plus limité. Il n’était donc pas rare qu’il se prenne une branche, ou bien qu’il trébuche sur une racine le faisant alors chuté au sol.

Après plusieurs – longue et fastidieuse – dizaine de minutes, il débusqua l’odeur d’un félin. L’odeur était particulière à son nez, elle lui rappelait des souvenir d’une fourrure épaisse et chaleureuse, d’une langue râpeuse s’attardant sur son poil,… sa mère. C’était sa mère qu’il pouvait sentir.

Se précipitant hors du bosquet dans lequel il se trouver, il se rua sur le chat aux poils gris/bleu devant lui se collant contre la fourrure – si semblable à celle de sa mère – et ronronna un joyeux.

« - Maman. »

Il était parfaitement heureux, il avait retrouvé sa mère. Il ne l’as quitterais plus jamais, et ne croirait plus ses mensonges, sa mère n’était pas morte. Elle était la, et lui était blottis contre sa fourrure ronronnant toujours plus fort.

Il y était presque. C'était sa première proie de la journée et pour une fois, au lieu de gentiment la rapporter au clan comme un fidèle serviteur du vent qu'il était, Coeur de Brouillard allait se repaitre de sa chaire avec délice. Et nul n'en saurait rien. Ce n'était pas la première fois qu'il commettait ce genre d'impairs (allons, on ne pouvait pas parler de crime pour un misérable levraut), et ce n'était très certainement pas la dernière fois. L'animal lui tournait le dos, trop occupé à faire un festin de trèfles, à une distance respectable de son terrier. Le chat ignorait si la faim l'avait poussé à commettre une telle imprudence mais sa mère allait payer le prix de son erreur. Ce soir, elle aurait un enfant de moins à allaiter.

Quoi ? De la pitié ? Ce misérable ne pensait même pas à flairer le vent !

Il se coula dans les hautes herbes tapissant le sol. La plaine émettait son chant habituel, camouflant son déplacement à force de craquements, claquements, sifflotements et autres petits cris dont Coeur de Brouillard faisait totalement abstraction. Une erreur là aussi, mais franchement, ce n'est pas tout les jours qu'un chaton vous fonce dessus en vous appelant maman. Si un chat adepte de prémonitions farfelues lui avait déclaré ça à l'aurore, sans nul doute que Coeur de Brouillard lui aurait conseillé d'aller faire un tour chez les bipèdes histoire de se remettre les oreilles en place.

Ca n'empêcha pas l'histoire de se faire, et le levraut de se crapahuter en direction de son refuge à force de bonds maladroits. Coeur de Brouillard sentit son estomac protester vivement mais n'y accorda qu'une attention mineure.

Qu'est ce que la boule de poils blanchâtre venait de lui ? Par quel surnom ridicule l'avait-il nommé ?

Et ronron et câlin et grattouille et miaou et regard énamouré et vas-y que je te frotte dans les pattes.

D'un mouvement sec et nonchalant, Coeur de Brouillard s'écarta, retrouvant sa dignité en quelques secondes. Au moins personne autre que le minus câlin n'avait été témoin de son incrédulité. Abasourdit, muet, mais au moins fier, il lorgna le chaton, ne le reconnu pas, remarqua néanmoins son handicap (ça expliquait en partie le surnom) et en conclu que l'un des clans (et donc une mère de plus) venait de commettre une sérieuse bourde. Malheureusement pour le dit clan, il avait terminé sa B.A il y a quelques mois (le chaton déjà grand l'en remerciait d'ailleurs souvent à chaque fois qu'il le croisait) et n'était pas prêt de sauver une autre tête brulée. Que les chouettes en fassent leur affaire.

- Retourne dans les mamelles de ta véritable génitrice l'aveugle, je n'ai pas de temps à perdre, lui cracha-t-il avec indulgence (c'est un petiot après tout) avant de tourner les pattes arrière en direction de l'est où la nourriture abondait.

Un seul regard de sa part terrifiait les marmots d'habitude, celui là ne ferait pas exception. N'est ce pas ?

Boules de poils fut dégager par le grand félin gris. Il le regarda étonné, pourquoi ça mère le dégager comme ça ? Est-ce qu’il avait fait quelque chose de mal ? Parce qu’il c’était éloigné et n’était pas revenue de suite. Oui, c’était sûrement ça, un chaton n’avait pas le droit de quitté ça mère, pas avant d’avoir appris à se débrouillé seul et d’être apprentis. Doucement, les oreilles baisser en signe de soumission il s’approcha de sa mère, pour se faire pardonné, pour s’excusé.

Toutefois il s’arrêta net figé, lorsqu’il entendit la phrase étrange de sa mère, en plus de son regard si dur. Si dur qu’il lui hérissa presque le poile. Est-ce qu’il avait était un si mauvais chaton que ça, qu’elle ne voulait plus s’occupé de lui. Elle voulait le confié à une autre femelle. Mais c’était sa maman à lui, et il n’en voulait pas d’autre. Il avait eu si peur cette nuit – et très mal aussi – qu’il n’avait pensé qu’à courir le plus loin possible. Pourtant, chaque fois qu’il en avait l’occasion il échappait à la surveillance d’Ardente pour retrouver sa mère.

Et aujourd’hui il l’avait retrouvé. Recommençant d’avancé, il chouina un peut en se recollant au poile de sa mère.

« - Maman, maman… je voulais pas partir. Mais j’ai eu peur. »

Se retournant, il présenta son ventre accrochant doucement la patte avant de sa mère des siennes. Il voulait lui montrer qu’il serait un bon chaton maintenant. Il ne désobéirait plus jamais, il écouterait bien ce qu’elle lui disait. Il ne partirait plus, il n’avait pas envie de partir. Il frotta un peut sa tête contre sa patte, ronronnant doucement.

Il voulait qu’elle lui dise qu’il était pardonné, qu’il était juste un chaton et qu’il apprendrait à bien se comporter s’il l’écouter. Qu’elle lui lèche doucement l’endroit entre ses oreilles qu’il ne pouvait jamais atteindre, ou même qu’elle joue doucement avec lui, le mettant au sol, bloquer sous une de ses patte. Mais angoissé, il rajouta :

« - Je t’ai cherché tous le temps. Promis, tous le temps. »

Se redressant il passa sous ses pattes, bombant le dos pour se frotter contre elle, s’imprégné de son odeur qui lui avait temps manqué. Pourtant s’il avait été un peut plus âgé il aurait remarqué que l’odeur qui lui rappelé sa mère, ne venait que d’un territoire qu’il avait traversé.

« - Maman. »

Et ça piaulait "Maman maman", ça commençait doucement à le gonfler, comme une caresse à rebrousse poils, quasi malsaine. En plus d'être aveugle ce machin à quatre poils était aussi complètement sourd. Pour son plus grand malheur. Coeur de Brouillard tourna lentement la tête vers la chose gémissante aux propos incohérents et décida, d'un coup d'un seul, que l'indulgence n'était plus de mise. L'éducation selon lui devait être dure, impitoyable, pour bien faire comprendre aux nouveaux arrivants que le sol sous leurs pattes allait se montrer traitre, vicieux. Et cela jusqu'à la fin de leur vie.

D'un coup de patte vif, sans toutefois y mettre les griffes, Coeur de Brouillard envoya le chaton rouler plus loin. Puis, le pas conquérant, il s'approcha de la silhouette au pelage tâché de terre et emmêlé de brins d'herbes morts, ordonnant le silence d'un seul regard glacial. Avant de persiffler, doucement:

- Ecoute moi bien sale petit morveux, il va falloir te mettre en tête que je ne suis pas ta mère avant que je ne t'enfonce la vérité dans ton minuscule crâne à coups de crocs. Vois-tu, ce n'est pas seulement que je ne suis pas elle, c'est que je n'ai aucunement envie de lui ressembler de près ou de loin.

S'allongeant sur le sol, il gratta la terre de sa patte d'un geste nonchalant, tout en continuant impitoyablement son petit discours. Vous avez dit cruel ?

- La femelle geignarde qui t'a mis au monde ne vaut pas plus que le fumier qui embaume le passage des cochons.

Un coup de langue sur son poil pour un plus bel effet de je m'en foutisme croissant, et le coup de grâce.

- Quant à toi, monstruosité sur pattes, je te pris d'aller chouiner ailleurs ton sentiment d'abandon car tu m'exaspères au plus haut point.

Les babines du chat bleu se retroussèrent sur une série de crocs particulièrement aiguisés et il passa lentement une griffe sous la gorge du silencieux petit chaton.

- Dois-je mettre les points sur les i ?

_ Ca ne sera pas nécessaire.

D'une voix cassante, pour ne pas dire glaciale, je viens de faire irruption dans le merveilleux mélodrame qui se déroule sous mes yeux. Heureusement que je suis là pour cette pauvre petite bête ! Et dire qu'il y a un temps, je haïssais les autres de peur d'être rejetée !

Toute la nuit, j'ai veillé sur mes nouveaux compagnons de jeu. Un jeu cruel, certes, mais un jeu bien drôle lorsque l'on ne se trouve pas dans un des clans déjà existants dans la forêt. Oui, je sais, c'est pas bien de former un nouveau clan, alors que quatre forment l'équilibre parfait... mais que voulez-vous ?! Aucun de ces clans préexistants ne me convient... et ne m'aurait acceptée de toute façon ! Saletés de chats ! Heureusement, les cabots sont mes amis... mais nous nous éloignons du sujet qui nous concerne..
Toute la nuit, donc, j'ai eu à observer les étoiles, qui formaient une voute lumineuse bien dense et magnifique au dessus de nos têtes, et il m'a semblé tout d'un coup me retrouver dans une plaine illuminée par ces mêmes étoiles, face aux chats des autres clans que je n'ai pu voir que de temps à autres, il y a longtemps... des chats morts, apparemment... Etait-ce le Destin qui me parlait ainsi ? Sans doute !
Un des chats s'approcha de moi. Un chat à robe calico à dominante grise.
"Le Clan de la Lune ne fera pas partie des Clans de la Forêt."
"Peu importe" dis-je.
"Mais son chef a le droit d'acquérir les neuf vies s'il respecte le code du Guerrier."
Le code du guerrier ? C'est quoi ça ! Je ne pus en dire plus que le chat multicolore s'avança de nouveau vers moi.
"Dès que le chef du Clan de la Lune aura pris connaissance du Code du Guerrier, il pourra venir à la Source de Lune demander ses neuf vies."
C'est ainsi que le rêve s'acheva. Le chat disparut, et doucement, ses confrères firent de même...

Ce matin, je me suis réveillée à cause de la rosée... et de ces abrutis de cabots qui aboyaient à s'en faire éclater les poumons ! Je n'avais pas veillé bien longtemps, et c'est avec soulagement que je vis que tous dormaient encore... mais il manquait une odeur... enfin, elle était encore là, tout près de moi, mais trop ténue ! Doucement, j'ai tourné la tête vers ce qu'il me semblait être la couche de ce fugueur de Boule de Poils. Comme je l'avais prévu, il avait déserté... encore une fois ! Combien de fois devrais-je lui dire que sa mère était morte ?! Enfin... il faudrait bien que je le lui dise au moins une fois, pour qu'il comprenne, mais c'est si terrible de le voir triste !
Baillant aux corneilles et m'étirant pour chauffer mes muscles froids, je me mis à brailler pour faire taire les chiens, non loin... heureusement qu'ils m'acceptent, ceux-là ! J'entendis de brefs "Pardon" et "Désolés" monter du grand portail qui tenait le chemin vers la ferme clos ; les chevaux hennirent bruyamment à ces derniers mots, mais les cabots l'avaient fermée !
Je fis ma toilette, assez rapidement et sommairement, avant de partir, à nouveau, à la recherche de cette petite créature que j'avais eu le malheur de recueillir un jour...

Suivant la trace de Boule de Poils, je me maudissait intérieurement, tout en priant pour qu'il ne lui soit rien arrivé de grave ; après tout, il était sous ma protection, à présent... et j'allais bientôt devenir chef de meute ! En songeant à ce qui venait de m'arriver, à ce rêve où j'étais face à face avec le Destin, je me sentis enorgueillie, mais l'odeur d'un clan arrêta net mes divagations oniriques... le clan du vent, il me semblait. J'avais déjà senti cette odeur en rencontrant ces deux chatons, Nuage Musical et Mélopée Nuageuse... cependant, je ne me souvenais plus s'il s'agissait de l'odeur de l'un ou de l'autre des deux apprentis...
Plus curieuse encore, et plus effrayée à l'idée que ce pauvre petit Boule de Poils se soit mis dans de belles herbes, je pressai le pas en suivant toujours son odeur ! Heureusement que le temps se faisait beau et que la pluie n'allait pas venir ! C'est là que je les vis, tous les deux.
La chétive créature se tenait par terre face à un colosse aux poils longs et gris, qui aurait pu sembler majestueux s'il n'avait tenté de jouer au petit chef face à un être qui n'avait pas la moindre chance face à lui. Je déteste ce genre de personnages !

C'est pourquoi, avant qu'il ne tente de faire du mal au borgne immature, je fis irruption dans leur conversation. Sans laisser à l'autre le temps de dire quoi que ce soit, je reprends :

_ Je sais que tu ne t'excuseras pas, et c'est pourquoi je ne t'accorderai pas mon pardon. On ne s'attaque pas aux chatons sans défense, surtout s'ils sont tristes et malheureux. Il a beau être dans ton territoire, il est trop petit pour te faire du mal.

Puis je le regarde. Tout en muscles, cet être serait un parfait combattant pour notre clan. Je me poste entre lui et Boule de Poils, m'assoie, nullement craintive face à un tel félin, puisque je suis moi-même pourvue d'une musculature non négligeable, et dis enfin :

_ Je m'appelle Ardente, et lui, c'est Boule de Poils. Quel est ton nom, guerrier du Clan de la Rivière ?

Boule de poil ne comprenait plus grand-chose à ce qui se passait. Ça mère venait de lui envoyer un coup de patte, et sans être douloureux c’était vexant et terriblement inquiétant. Ça mère n’agissait pas comme d’habitude, elle mettait un point d’honneur à lui faire croire qu’elle n’était pas sa mère. L’avait-il déçus à ce point que rien ne la faisait changé d’avis ? Ou peut-être que pour elle aussi cette soirée avait été particulièrement horrible, qu’elle préféré oublié tous ce qui y avait attrait de près ou de loin. Comme sa fuite impardonnable.

Le pire était qu’elle commençait à s'insulter elle-même, et il se sentait vraiment troublé. Il trouvait son discourt parfaitement incohérent, surtout quand elle parlait des cochons. Lui -même appréciais les couchons, il était assez chaud et stable sur leur patte pour lui offrir un endroit confortable pour une sieste. Autrement dit, il ne comprenait pas vraiment les adultes, mais la c’était pire encore. Qu’est-ce que ça mère essayer de lui expliquer ?

Il était cela dit, tous disposé à ce laissait faire. Même s’il ne comprenait pas les paroles et action de sa mère, il lui devait tous de même obéissance. Sans compté qu’il devait se faire pardonnée de sa fuite, lors de cette attaque particulièrement effrayante. Il se contentait de regardais sa mère dans les yeux, se demandant ce qu’il devait dire ou faire, pour qu’elle l’accepte a nouveaux.

Mais il n’eus pas besoins d’attendre beaucoup qu’Ardente – à qui il devrait se faire pardonner aussi d’avoir fugué, mais il avait retrouvé ça mère et c’était tous se qui comptais – s’immisçait dans leurs conversation. D’une voix plutôt froide et cassante, comme pour remettre les idées de sa mère en place, mais il n’était pas bien sur que cela fonctionne. Tous d’abord parce que sa mère n’était pas dans son état normal, aussi parce qu’en temps normal elle n’était pas influençable et ne laissait personne lui marcher sur les pattes aussi facilement.

Il lui en était toutefois reconnaissant. Il devrait dire à sa mère qu’Ardente c’était bien occupé de lui alors qu’il l’avait perdu et qu’il ne parvenait pas à la retrouver – enfin pas jusqu'à aujourd’hui.

« - Ardente, Ardente » Fit il en se redressant sur ses pattes particulièrement excité. « C’est ma maman, regarde c’est ma maman je l’ai retrouvé. »

Comme pour approuvé ses dire, il se colla à nouveaux contre le chat aux poils bleu, ronronnant de nouveaux. Il n’arrivait pas vraiment à tenir en place, et se frotter encore et encore aux poils, décider à récupéré sa dose de câlin, et s'imprégner de nouveaux de l’odeur de sa mère.

Oh, c’était peut-être pour sa que sa mère ne le reconnaissait pas, il devait avoir l’odeur d’Ardente sur lui maintenant. Il fallait qu’il la rassure.

« - Maman, maman c’est Ardente qui c’est occupé de moi. Elle est vraiment gentil tu vois, elle ma protéger jusqu'à ce que je te retrouve, c’est pour ça que j’ai son odeur et pas la tienne. »

Bien, il espéré qu’il était assez convainquant comme ça, il ne savait pas ce qu’il pourrait faire de plus, après ça. Mais il semblait qu’Ardente soit intéresser par sa maman – normal elle était la plus forte – et voudrais sûrement l’intégré à son clan.

« - Ardente, maman peut rester avec nous, hein ? »

Fit-il en se collant aux poils roux flamboyant d’Ardente, comme pour l’attendrir.

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